Santé

Cette activité hivernale réduirait le risque de développer la maladie de Parkinson

Cette activité hivernale réduirait le risque de développer la maladie de Parkinson

  Photographe : Unsplash | Toa Heftiba

Ce n’est plus un secret: l’exercice physique joue un rôle essentiel dans la prévention de nombreuses maladies, y compris les affections neurodégénératives, comme la maladie de Parkinson. 

Une étude menée par des chercheurs suédois a suivi près de 200 000 skieurs de fond participant au Vasaloppet, une compétition de 90 km.

Leur conclusion? Les skieurs ont 30 % moins de risques de développer la maladie de Parkinson que ceux qui ne pratiquent pas ce sport.

 

ski de fond

© Shutterstock

 

Ce bénéfice serait lié à l’augmentation de la «réserve motrice», un concept fascinant qui suggère que l’activité physique peut ralentir l’apparition des symptômes moteurs, même en cas de lésions cérébrales causées par la maladie.

Alors, cet hiver, lorsque la tentation de rester confortablement installé au chaud nous envahira, il sera bien utile de se rappeler ces données.

Une belle motivation pour chausser nos skis, à l’instar des plus de 100 000 passionnés au Québec, et se remplir à notre tour de cette précieuse réserve motrice.

 

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