Travail
Ma pire gaffe au travail
Erreur sur l'examen
«Pour l'épreuve finale de 5e secondaire, au lieu de photocopier l'examen, j'ai photocopié les corrigés et les ai passés à tous mes étudiants. Quand j'ai réalisé mon erreur, il était trop tard: les élèves avaient eu le temps de voir les bonnes réponses. À cause de cela, toutes les classes de 5e secondaire ont dû faire un nouvel examen. Heureusement, j'avais un directeur d'école très conciliant!» – Stéphanie, 26 ans, professeure de français.
Une expo qui tombe à l'eau
«Dans ma vingtaine, j'ai travaillé dans un laboratoire photo… et commis une énorme bourde: j'ai développé par erreur des photos qui, en fait, devaient être des diapos. Le pire, c'est que j'ai fait tomber à l'eau une exposition qui devait se tenir à Londres. Résultat? Je me suis fait renvoyer!» – Jeanine, 57 ans.
Une expression de travers
«Je débutais comme serveuse, et la toute première commande que je devais servir était une immense crêpe au fromage. J'ai servi les clients rapidement sans trop les regarder, et j'ai dit pour rire: ‘‘Ce n'est pas une crêpe de tapette!''. Puis j'ai levé les yeux et je me suis aperçu que mes clients étaient homosexuels. En fait, je travaillais dans un resto gay et je ne le savais pas! Je suis allée m'excuser et finalement tout le monde a bien ri!» – Marianne, 23 ans, serveuse.
La vamp aux rouleaux
«Un matin, alors que je me rendais au travail, j'ai remarqué que tous les hommes que je croisais me dévisageaient. Arrivée à mon bureau, j'en ai fait part à ma secrétaire. Elle m'a regardée et m'a dit: ‘‘C'est normal, Johanne, tu as un énorme rouleau vert et un autre jaune dans les cheveux!'' – Johanne, 42 ans, directrice de comptes.
Une caisse qui ne balance pas
«Plus jeune, je travaillais chez un traiteur. Un jour, un client est venu acheter pour 500 $ de plats à emporter. En lui remettant ses sacs et sans m'en rendre compte, je lui ai redonné son chèque. À la fin de la journée, ma caisse ne balançait plus. Heureusement, ce soir-là, il est revenu payer mon patron.» – Nicolas, 28 ans.Une première haute en couleur
«J'étais placier pour un gala, et une comédienne connue m'a demandé de l'accompagner jusqu'à sa place parce qu'elle avait des talons très hauts. Par mégarde, j'ai marché sur la traîne de sa robe qui a déchiré. Lors de la remise d'un prix, elle s'est levée pour présenter un des gagnants… et la déchirure était évidente! J'étais étudiant, sans le sou, je ne l'ai donc dit à personne afin de garder mon emploi!» – Renaud, 34 ans, comédien.
Un compliment qui tourne mal
«Je me suis fait couper les cheveux très courts, ce qui m'a valu les compliments de mon patron. Je l'ai remercié, en lui disant que c'était comme si je n'avais pas un cheveu sur la tête. Ce que j'avais momentanément oublié, c'est que mon patron était chauve! Heureusement, il a aussitôt changé de sujet.» – Sylvie, 45 ans, assistante comptable.
Quand le chat est parti, les souris dansent
«Il m'arrivait parfois de dîner avec deux de mes collègues dans les bureaux, et on profitait souvent de ce moment-là pour se défouler contre notre patronne, qui était très exigeante et condescendante. Or, un midi, nous n'avons pas remarqué qu'elle était restée à son bureau… et qu'elle avait tout entendu! À la fin de la journée, elle m'a convoquée pour me dire que c'était mon dernier jour.» – Miriam, 34 ans, coordonnatrice en relations internationales.
Excès de zèle
«Ma patronne m'a demandé récemment si j'étais satisfaite de mes conditions de travail. Je pensais qu'elle voulait me tester, alors je lui ai dit que j'en étais très heureuse. Elle m'a répondu qu'elle était enchantée de ma motivation et que, contrairement aux autres qu'elle venait d'augmenter, j'avais beaucoup d'avenir devant moi. La discussion s'est terminée avec une bonne entente soit, mais rien de plus dans mon compte de banque!» – Vicky, 29 ans, chargée de projet.
Trahie par Facebook
«Un jour particulièrement difficile au travail, j'ai écrit sur Facebook: ‘‘Recherche quelqu'un pour kidnapper ma patronne insupportable!''» Le problème est que j'ignorais que mon statut n'était pas confidentiel et que tout le monde pouvait donc y avoir accès. Trois jours plus tard, j'ai reçu une lettre très formelle du service des Ressources humaines m'annonçant mon congédiement.» – Marie-Ève, 33 ans, consultante en marketing.
Une déclaration illégitime
«Au fil du temps, j'ai développé une relation avec mon patron que j'ai confondue à de l'amour. Un matin, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai avoué que je l'aimais depuis deux ans. Il a été très choqué de l'apprendre, et m'a montré une photo de sa femme et de ses enfants. Puis, il m'a expliqué qu'il préférait que je me trouve du travail dans un autre bureau.» – Hélène, 31 ans, réceptionniste.
«Pour l'épreuve finale de 5e secondaire, au lieu de photocopier l'examen, j'ai photocopié les corrigés et les ai passés à tous mes étudiants. Quand j'ai réalisé mon erreur, il était trop tard: les élèves avaient eu le temps de voir les bonnes réponses. À cause de cela, toutes les classes de 5e secondaire ont dû faire un nouvel examen. Heureusement, j'avais un directeur d'école très conciliant!» – Stéphanie, 26 ans, professeure de français.
Une expo qui tombe à l'eau
«Dans ma vingtaine, j'ai travaillé dans un laboratoire photo… et commis une énorme bourde: j'ai développé par erreur des photos qui, en fait, devaient être des diapos. Le pire, c'est que j'ai fait tomber à l'eau une exposition qui devait se tenir à Londres. Résultat? Je me suis fait renvoyer!» – Jeanine, 57 ans.
Une expression de travers
«Je débutais comme serveuse, et la toute première commande que je devais servir était une immense crêpe au fromage. J'ai servi les clients rapidement sans trop les regarder, et j'ai dit pour rire: ‘‘Ce n'est pas une crêpe de tapette!''. Puis j'ai levé les yeux et je me suis aperçu que mes clients étaient homosexuels. En fait, je travaillais dans un resto gay et je ne le savais pas! Je suis allée m'excuser et finalement tout le monde a bien ri!» – Marianne, 23 ans, serveuse.
La vamp aux rouleaux
«Un matin, alors que je me rendais au travail, j'ai remarqué que tous les hommes que je croisais me dévisageaient. Arrivée à mon bureau, j'en ai fait part à ma secrétaire. Elle m'a regardée et m'a dit: ‘‘C'est normal, Johanne, tu as un énorme rouleau vert et un autre jaune dans les cheveux!'' – Johanne, 42 ans, directrice de comptes.
Une caisse qui ne balance pas
«Plus jeune, je travaillais chez un traiteur. Un jour, un client est venu acheter pour 500 $ de plats à emporter. En lui remettant ses sacs et sans m'en rendre compte, je lui ai redonné son chèque. À la fin de la journée, ma caisse ne balançait plus. Heureusement, ce soir-là, il est revenu payer mon patron.» – Nicolas, 28 ans.Une première haute en couleur
«J'étais placier pour un gala, et une comédienne connue m'a demandé de l'accompagner jusqu'à sa place parce qu'elle avait des talons très hauts. Par mégarde, j'ai marché sur la traîne de sa robe qui a déchiré. Lors de la remise d'un prix, elle s'est levée pour présenter un des gagnants… et la déchirure était évidente! J'étais étudiant, sans le sou, je ne l'ai donc dit à personne afin de garder mon emploi!» – Renaud, 34 ans, comédien.
Un compliment qui tourne mal
«Je me suis fait couper les cheveux très courts, ce qui m'a valu les compliments de mon patron. Je l'ai remercié, en lui disant que c'était comme si je n'avais pas un cheveu sur la tête. Ce que j'avais momentanément oublié, c'est que mon patron était chauve! Heureusement, il a aussitôt changé de sujet.» – Sylvie, 45 ans, assistante comptable.
Quand le chat est parti, les souris dansent
«Il m'arrivait parfois de dîner avec deux de mes collègues dans les bureaux, et on profitait souvent de ce moment-là pour se défouler contre notre patronne, qui était très exigeante et condescendante. Or, un midi, nous n'avons pas remarqué qu'elle était restée à son bureau… et qu'elle avait tout entendu! À la fin de la journée, elle m'a convoquée pour me dire que c'était mon dernier jour.» – Miriam, 34 ans, coordonnatrice en relations internationales.
Excès de zèle
«Ma patronne m'a demandé récemment si j'étais satisfaite de mes conditions de travail. Je pensais qu'elle voulait me tester, alors je lui ai dit que j'en étais très heureuse. Elle m'a répondu qu'elle était enchantée de ma motivation et que, contrairement aux autres qu'elle venait d'augmenter, j'avais beaucoup d'avenir devant moi. La discussion s'est terminée avec une bonne entente soit, mais rien de plus dans mon compte de banque!» – Vicky, 29 ans, chargée de projet.
Trahie par Facebook
«Un jour particulièrement difficile au travail, j'ai écrit sur Facebook: ‘‘Recherche quelqu'un pour kidnapper ma patronne insupportable!''» Le problème est que j'ignorais que mon statut n'était pas confidentiel et que tout le monde pouvait donc y avoir accès. Trois jours plus tard, j'ai reçu une lettre très formelle du service des Ressources humaines m'annonçant mon congédiement.» – Marie-Ève, 33 ans, consultante en marketing.
Une déclaration illégitime
«Au fil du temps, j'ai développé une relation avec mon patron que j'ai confondue à de l'amour. Un matin, j'ai pris mon courage à deux mains et lui ai avoué que je l'aimais depuis deux ans. Il a été très choqué de l'apprendre, et m'a montré une photo de sa femme et de ses enfants. Puis, il m'a expliqué qu'il préférait que je me trouve du travail dans un autre bureau.» – Hélène, 31 ans, réceptionniste.