Quand, en plein centre de Chicago, un immeuble explose, plus de 500 vies sont fauchées, incluant celle du mari de Cecily Grayson. Cette femme, dont la vie de famille bascule instantanément, devient malgré elle la vedette de cette tragédie. Un an plus tard, un documentariste s’intéresse au drame, à ses victimes, mais aussi aux survivantes, comme Cecily. Pourquoi se sent-elle coupable de la mort de son mari, Tom? Que cache-t-elle? Dans ce suspense fort efficace, les mensonges sont si habiles qu’on n’arrive pas à savoir qui nous a bernés depuis le début.
Les liens du mensonge, par Catherine McKenzie, Michel Lafon, 2019, 460 p., 27,95 $