Loisirs et culture

20 films des années 1980-1990 qu’on ne regardera jamais trop souvent !

20 films des années 1980-1990 qu’on ne regardera jamais trop souvent !

  Photographe : Universal Pictures

Voici notre liste des vingt films des années 1980 et 1990 qu’on ne se lasse pas de visionner, avec un seau de maïs soufflé mais sans un grain de culpabilité!

 

 

 

 

 

 

 

Forrest Gump

1994

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Qui peut continuer à passer sa balayeuse quand il voit apparaître, dans sa télé, Tom Hanks assis sur un banc de parc avec sa boîte de chocolats sur les cuisses ? Réalisée par Robert Zemeckis, cette touchante épopée d’un drôle d’oiseau survole les décennies avec la même grâce que son acteur principal.

 

Danse lascive

1987

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On a beau avoir vu 37 fois cette romance musicale, campée dans la moiteur new-yorkaise et chauffée par quelques slows collés, on retient encore son souffle au moment où Bébé et Johnny s’élancent dans le porté final.

 

Retour vers le futur

1985

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Regarder ce film produit la même magie qu’une promenade dans la DeLorean : on se sent propulsé des dizaines d’années en arrière, à l’époque où Michael J. Fox respirait la santé. Les effets spéciaux accusent parfois leur âge, mais la candeur de Marty McFly charme toujours.

 

Beauté américaine

1999

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Alors que les États-Unis traversent une crise de confiance, ce portrait d’une famille engourdie par l’ennui conserve tout son intérêt. Sam Mendes, le réalisateur des deux derniers James Bond, n’a pas fait mieux depuis cette grande œuvre, sortie dans l’attente anxieuse du « non-bogue » de l’an 2000.

 

Titanic

1997

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On a tellement vu souvent le bateau s’engouffrer dans la nuit noire qu’on commence sérieusement à en avoir assez. Mais depuis que Céline Dion a arrêté la planète mode de tourner avec son coton ouaté à l’image de Jack et Rose, on a bien envie de pleurer une autre fois devant le naufrage le plus lucratif de l’histoire. Une dernière ? Near, far, wherever you are…

 

Le déclin de l’empire américain

1986

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Au moment où son scénario fait l’objet d’une adaptation théâtrale et que Denys Arcand s’apprête à embobiner une nouvelle thèse sur les valeurs de l’Amérique, l’intérêt pour son film-culte ne décline pas. On aime ses personnages décomplexés et ses dialogues aussi bavards que savoureux.

 

Rocky IV

1985

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Le premier était le meilleur, dit-on de la plupart des franchises cinématographiques. Dans le cas du boxeur personnifié par Sylvester Stallone, le quatrième round frappe plus fort. Sur fond de guerre froide, le héros américain affronte le brutal Ivan Drago. Par chance, sa tendre Adrian attend derrière les câbles…

 

Edward aux mains d’argent

1990

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Ce n’est pas parce que ce conte passe à la télé à chaque temps des Fêtes qu’on doit se priver de le regarder à plus de 30 degrés ! Cette fable sur la différence, toujours d’actualité, semble taillée pour Johnny Depp, qui fait son entrée dans l’univers excentrique de Tim Burton en décochant plusieurs coups de ciseaux mais en ne prononçant presque pas un mot.

 

Le dîner de cons

1998

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C’est la saison des festivals ? Ça tombe bien, ici, on se trouve au Festival de la phrase culte, avec des têtes d’affiche nommées Pignon, Brochant, Cheval et Sasseur. Cette comédie de Francis Veber nous donne encore des crampes aux joues, vingt ans après sa sortie. « Et voilà, on a les droits ! »

 

Patch Adams

1999

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Trois ans après la mort tragique de Robin Williams, ce sont ses mimiques clownesques qui nous reviennent en tête en premier. Film marquant, Patch Adams présente l'histoire vraie d'un homme déterminé à devenir médecin après avoir réalisé qu'il avait le don de réconforter les patients par ses clowneries.

 

Thelma et Louise

1991

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Deux femmes, une voiture, une escapade qui ne se déroule pas comme prévu… Dans ce road movie conduit par Ridley Scott, Susan Sarandon et Geena Davis forment l’un des duos féminins les plus forts de l’histoire du cinéma. De leur enivrante virée, on se souvient de la révélation de Brad Pitt et d’un mythique selfie, longtemps avant que le mot existe !

 

Breakfast Club

1985

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Les représentants de la génération X ont eux aussi grandi avec un Club des petits déjeuners. Pas l’œuvre qui remplit les mini-bedons, mais plutôt le clan formé par John Hughes, qui a nourri la réflexion d’une foule d’adolescents en quête d’identité. On le réécoute pour sa bande sonore et pour son doux esprit de rébellion.

 

Fiction pulpeuse

1994

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Le brillant Quentin Tarantino nous menace de prendre sa retraite des plateaux de cinéma ? Au lieu de déprimer, on se réfugie dans son œuvre la plus percutante. Combien de fois a-t-on reculé la scène où Uma Thurman et John Travolta (alias Mia Wallace et Vincent Vega), aussi sublimes que paumés, s’invitent à un concours de danse ?

 

Elvis Gratton

1985

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Contrairement à un bon vin, cette farce de Pierre Falardeau n’a pas gagné en subtilité avec les années. Dans la réserve des comédies québécoises, Elvis Gratton demeure toutefois un grand cru, qui développe des saveurs plus complexes qu’elles n’en ont l’air. Conseil d’initiés : quand viendra le temps de vous crémer avant la plage, évitez la pasta dental.

 

La Liste de Schindler

1993

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Drame historique américain réalisé par Steven Spielberg, ce film présente les années de guerre d'Oskar Schindler, industriel autrichien rentré à Cracovie en 1939 avec les troupes allemandes. Tout au long de la guerre, il protègera les juifs en les faisant travailler dans sa fabrique. Un film bouleversant qui demeure, encore à ce jour, un véritable classique du cinéma.

 

Légendes d’automne

1994

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Trois frères aux antipodes fondent cette bouleversante tragédie grecque, nichée dans les montagnes du Montana au début du 20e siècle. On se souvient de ce film pour sa terrible finale. Sans vouloir jouer au divulgâcheur avec 20 ans de retard, rappelons qu’elle implique Brad Pitt et un ours. Fermez les yeux !

 

Rain Man

1988

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On comprend mieux le trouble de l’autisme aujourd’hui qu’en 1988. On en parle également davantage. Le réalisateur Barry Levinson a fait œuvre utile en mettant en scène un personnage atteint de ce syndrome. Couronnée d’un Oscar, l’attendrissante interprétation de Dustin Hoffman ne s’oublie pas.

 

Cruising Bar

1989

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Alors que le festival Juste pour rire vient de rendre hommage à Michel Côté, on en profite pour savourer toute sa maestria comique dans ce film à quatre personnages pour un seul acteur. Dur, dur de choisir son raté préféré entre le Paon, le Taureau, le Lion et le Ver de terre. Devant la niaiserie, ils apparaissent tous égaux !

 

Une jolie femme

1990

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Elle était belle, Julia Roberts, avec ses cuissardes et ses minijupes ! On rêvait de lui voler son sourire parfait, ses cheveux épais et ses jambes interminables. On rêvait aussi de rencontrer, comme elle, un prince aux yeux (et au portefeuille !) de Richard Gere. Mais avec toute l’innocence de notre adolescence, on ne comprenait pas tout à fait son métier. C’est quoi, une escorte, maman ?

 

Le monde de Wayne

1992

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« Wayne’s World, Wayne’s World, mégateuf. » La ritournelle nous est restée collée dans la tête comme une gomme sous une chaise. C’était d’un ridicule consommé. Et ce l’est toujours. Mais pour nous avoir fait découvrir Mike Myers et redécouvrir la chanson Bohemian Rhapsody, on demeure reconnaissant à cette comédie rock déjantée sortie de Saturday Night Live.

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