Conseils pratiques

5 choses à savoir sur le panais

5 choses à savoir sur le panais

  Photographe : Adobe Stock

Le panais québécois est récolté à l’automne. 

Comme il se conserve bien, il est entreposé de manière à ce qu’on puisse s’en régaler tout l’hiver!

 

Carotte blanche?

Bien que le panais ait l’apparence d’une carotte blanche, ces deux légumes sont différents. Ils appartiennent tous les deux à la famille des apiacées. Le panais offre une saveur douce et sucrée, bien distincte de sa cousine la carotte. Quand on y goûte, il n’y a plus de confusion possible!

À essayer

 

Légume-racine polyvalent

Même si le panais nous est moins familier, on découvre bien vite qu’il n’est pas compliqué à préparer. On peut le cuisiner en potage et en purée, comme on le fait avec d’autres légumes-racines. On peut aussi le rôtir au four, le cuire au poêlon à la manière des carottes glacées (on peut même mélanger les deux!), ou encore l’ajouter à nos plats braisés et mijotés. Le panais se consomme aussi cru. Alors, ajoutez-en à vos rémoulades de céleri!

À essayerCarottes et panais rôtis à la moutarde

 

Côté sucré

La carotte fait d’excellents pains, muffins et gâteaux. Pourquoi ne pas préparer ces mêmes douceurs avec du panais, dont le goût est naturellement sucré? Le résultat est différent et délicieux! Le panais en purée pourrait aussi ajouter une touche de personnalité à nos crèmes brûlées.

À essayerPurée de panais

 

panais

© Tango Photographie

 
Peler ou brosser?

Lorsque le panais est jeune, à l’automne, le brosser suffit, pas besoin de le peler. Au fur et à mesure que les mois passent, on évalue si un bon brossage fait l’affaire ou s’il semble préférable d’enlever la peau – notamment si elle a un peu jauni. Une fois exposée à l’air, la chair du panais a tendance à brunir. C’est pourquoi il vaut mieux le peler et le trancher au dernier moment, juste avant de l’ajouter à nos recettes.

 

Comme du riz d’ici

Le riz est un des «aliments voyageurs» de nos garde-mangers, qui n’existe pas en version locale. Pour le plaisir de varier, on opte pour de l’orge ou du riz sauvage canadien, ou encore de l’avoine nue du Québec, qui se cuisine un peu comme le riz brun. Et que diriez-vous d’une option de plus pour changer du riz? Ce pilaf polyvalent, préparé à base de panais des maraîchers d’ici, se sert en accompagnement, de la même manière que le riz. Depuis le premier essai, c’est devenu un véritable classique dans ma cuisine!

 

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