Conseils pratiques
4 choses à savoir sur le poireau
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Légume vedette du temps des couleurs, cette savoureuse plante potagère nous est offerte jusqu’à tard en automne.
Et sa polyvalence en cuisine est impressionnante!
Petite tige, grand fût
La «tige» du poireau se nomme, en réalité, le «fût». La véritable tige du poireau est une sorte de disque à la base du fût, d’où partent les racines. Si la tige est toute petite à la base du poireau, le fût, lui, est particulièrement généreux, ce qui nous permet de nous régaler.
On ne «poireaute» pas sur le lavage!
Du sable ou de la terre se cache souvent entre les couches de feuilles des fûts de poireaux. Pour éviter un petit croquant indésirable, il faut bien laver les poireaux émincés ou rincer soigneusement entre les feuilles.
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Mode provisions
Le poireau reste sur les étals jusqu’à tard en automne. Puis il devient de moins en moins facile de le trouver entier, de provenance locale, au cours de la saison froide. Heureusement, il se congèle aisément, cru ou blanchi, émincé ou en rondelles. On peut aussi le cuisiner en tombée ou en coulis, deux préparations qui se congèlent bien et s’utilisent facilement quand on les sort du congélateur.
Tout est bon dans le poireau
De la même famille que l’ail, l’oignon, l’échalote et la ciboulette, le poireau offre des possibilités quasi infinies en cuisine: quiches, tartes salées, farces, boulettes, soupes, sauces, gratins, béchamels, omelettes, coulis, plats mijotés, purées, etc. On conserve même la partie verte des feuilles, plus coriace que la blanche. Elle est délicieuse dans les bouillons et les herbes salées.
