Une nourriture de qualité pour notre animal

• Toutes les grandes marques proposent différentes formules: on en choisit une qui est adaptée à l'âge et à l'état de santé de notre compagnon (par exemple, un animal âgé et peu actif a besoin de moins de protéines et de matières grasses).

• On vérifie si une «analyse garantie» est affichée sur l'emballage: on sait alors que les proportions de protéines, de matières grasses, de fibres et d'humidité respectent les normes de l'Association of American Feed Control Officials (AAFCO), un standard reconnu dans l'industrie.

• Comme notre animal est un carnivore, on veut que la viande figure parmi les premiers ingrédients; c'est un indice qu'il y en a une bonne proportion dans le mélange. Ce n'est toutefois pas une certitude absolue, car un ingrédient plus loin sur la liste peut se cacher sous diverses appellations (maïs, gluten de maïs, son de maïs, amidon de maïs); si on les réunissait toutes sous un seul nom, cet ingrédient apparaîtrait peutêtre avant la viande.

• On préfère les viandes animales ou les poissons clairement nommés (poulet, boeuf, saumon) aux «viandes et sous-produits animaux» non identifiés. Dans ce dernier cas, impossible de savoir s'il s'agit de sous-produits de qualité (comme du foie) ou de parties animales sans grande valeur nutritive (becs, pattes, plumes).

• Certains agents de conservation sont controversés: considérés comme sûrs à faible dose d'après certaines études, ils sont soupçonnés d'occasionner divers problèmes de santé selon d'autres... Par mesure de précaution, on évite les additifs suivants: éthoxyquine, BHA, BHT, gallate de propyle et propylène glycol.

• Notre budget est serré? On ne se contente pas d'examiner les prix: on compare aussi selon la quantité journalière recommandée (affichée en fonction du poids, c'est la ration nécessaire pour que notre animal reçoive tout l'apport nutritif dont il a besoin). Certaines nourritures qui semblent économiques doivent être servies en plus grande quantité, et il faudra en racheter plus souvent.

À LIRE: Au secours, mon chien mange les coussins!